Auteur/autrice : Pathien

Utilisateurs des transports en commun ou du « Métro, boulot et dodo »…
N’avez-vous jamais eu l’impression de rentrer dans la routine bête et méchante ?

Commençons par des théories dans les transports… euh disons plutôt des constats…

Premier constat
Vous sortez de chez vous, tout va bien, vous commencez tranquillement votre journée…
Arrivé à une entrée pour prendre les transports en commun, quel porte choisissez-vous ? Celle qui est ouverte ou celle qui est fermée ?
Celle qui est ouverte me diriez-vous ! Ça fait un effort en moins et puis je suis pressée pour aller au boulot (de …..)
Même au moment d’affluence importante, vous voulez passer par la porte ouverte malgré l’existence des 3 autres portes… Mais pourquoi ?

Pour passer par une des 3 autres portes, il faut qu’une personne se dévoue pour la pousser et l’ouvrir…

La civilisation dans les pays développés est-elle trop dans un confort confortable ?
Les « bouchons » devant les portes non ouvertes, les escalators, les ascenseurs sont-ils justifiés ?

Ce n’est que mon avis… est-il valable en dehors de la région parisienne et hors de la France ?

Comme une tradition qui est ancrée chez nous (Traditions de France ?), les transports communs sont annuellement en plein combats entre les dirigeants et les dirigés. (on va résumer à cela…)

Malgré l’instauration d’un service minimum par le gouvernement, la question et les interrogations resteront les mêmes : est-ce que le gouvernement répondent correctement ou non aux demandes des grévistes ? Que demandent les grévistes ?

Est-ce que les rôles de ces 2 entreprises publiques divergent ? Un monopole sur le réseau des transports peut-il être efficace ?
Si nous devons penser à une éventuelle privatisation, regardons plutôt la situation en Grande-Bretagne : les voies ferroviaires ne sont pas entretenues…

Comment surmonter tout ça ? Augmenter les prix des billets des usagers ? Délocalisation des guichets humains dans des guichets automatique ou sur le site Internet (qui peut planter, disons-le)

Le système économique doit-il être relu, revu et réécrit ?

A vos marques, prêts, partez à la course de cette plus-value !